Eh bien voilà le 24 janvier qui se termine, et dire qu'il y a un mois déjà, c'était Noël, le réveillon, les petits fours, la buche, les cadeaux...Il est loin le temps où les loisirs et les temps morts étaient encore permis.
Maintenat, l'heure est au boulot, et Dieu sait que je n'aime pas ça!
Je ne pourrais jamais passé mes journées à apprendre du par coeur, et pourtant, c'est ce à quoi je dois me préparer, et je ne dois même pas m'en contenter, je dois aimer ça. Qu'y a t il de pire que de se dire qu'on se force à aimer une chose qui nous répugne!
Aujourd'hui, c'est comme si tout le négatif d'une journée s'était concentré sur ma singularité. Au menu : une colle en free-style bien passée, mais une autre révisée et échouée, à croire que se préparer et réussir ne s'accomodent pas en physique ondulatoire!
Alors après cette journée, durant laquelle j'apprends que les bulletins (et oui, vous savez, ces chères feuilles blanches qui sonnent le glas de vos plus beaux espoirs d'avenir à court comme à long terme) sont enfin arrivés au domicile parental. La soirée s'annonçait tout aussi triste et sombre, avec incompréhension totale de ma part et de celle de mon entourage, ce qui entraîne des quiproquos qui s'enchaînent, et des relations qui menacent de s'envenimer.
Heureusement, minuit a déjà sonné, couvrant la scène de meurtre qu'aura été cette journée, meurtre d'un égo trop aiguisé, ou d'un coeur trop doux.
Une bonne nuit de sommeil devrait calmer le tout...et pour ce qui est de Young, je l'en conjure, qu'il n'invente plus d'expériences sans originalité qui n'ont pour but que de nous imprégner les neurones d'idées inutiles!
idées du jour : Bernard et Bianca, violet, paradis, Mont St Michel, continuité, vide, Chili