Jeudi (15/05/08)
Envie de poisson
J'ai envie d'un poisson!!!
Comme celui là, mais bon, qui peut bien m'en offrir...
Comme celui là, mais bon, qui peut bien m'en offrir...
Ecrit par Astate, à 14:22 dans la rubrique Victuailles.
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Jeudi (01/05/08)
Et si on fêtait Noël demain!
Voilà, parce que j'ai craqué aujourd'hui, je vous souhaite à tous, un joyeux Noël!
Ecrit par Astate, à 17:40 dans la rubrique Bordélisme équivoque.
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Mardi (29/04/08)
M'enfin, mon réveil!
--> Douce nuit, sainte nuit...
Alors là, il y a vraiment de quoi faire au niveau du potentiel de la connerie.
En effet, figurez vous que hier soir, je suis parti tranquillement chez un ami et j'ai oublié une chose : éteindre mon réveil qui sonne autant à 8h du matin qu'à 20h. Résultat, comme mes deux autres colocs (sur 3) sont en concours, j'ai eu le droit à 15 appels me disant qu'il fallait que je "ramène mon cul en vitesse afin d'éteindre mon putain de réveil".
Il n'y avait que moi pour faire cela, direz vous. Mais bon, de là à dire que je le fais exprès pour les emmerder, il faut le faire. Mais grâce à cette malencontreuse expérience, je me suis rendu compte que mon réveil s'arrêtait de lui même après une heure entière de sonnerie! Au moins un point positif.
Mais pourquoi il a sonné une heure? Ben tout simplement parce que quand je suis allé chez mon pote, j'ai posé mon portable à côté et en mode vibreur, impossible de me prévenir (je sais, ça ne me ressemble pas).
En bref, j'ai aussi appris que même en essayant de faire le moins de bruit possible en rentrant dans l'appartement, j'en faisait autant qu'un éléphant. Il y a des jours comme celui-là où l'on préfèrerait entendre qu'il faut que l'on entame un régime! Et également qu'en rendant service, on s'en prend toujours sur la gueule : je comprends l'égoïsme qui s'installe et fait rage dans notre société. Les gens prennent l'habitude de se plaindre ou de gueuler tout le temps, donc quand on les aide, on se fait inévitablement envoyer paître. A quoi bon continuer à rendre service...
Enfinn après une (autre) dure soirée, je rentre, et fais moins de bruit que ce que les lois de la physique le permettent. Je règle mon réveil (le même qui sonne l'après-midi) et me dit que demain, c'est bon, je vais bosser. Je l'avais mis à 8h.
Je me suis réveillé à 13h34, le réveil dans mes bras, comme un nounours, et je n'ai pas bossé mes concours de la matinée. Comme quoi, il y a une justice...
En effet, figurez vous que hier soir, je suis parti tranquillement chez un ami et j'ai oublié une chose : éteindre mon réveil qui sonne autant à 8h du matin qu'à 20h. Résultat, comme mes deux autres colocs (sur 3) sont en concours, j'ai eu le droit à 15 appels me disant qu'il fallait que je "ramène mon cul en vitesse afin d'éteindre mon putain de réveil".
Il n'y avait que moi pour faire cela, direz vous. Mais bon, de là à dire que je le fais exprès pour les emmerder, il faut le faire. Mais grâce à cette malencontreuse expérience, je me suis rendu compte que mon réveil s'arrêtait de lui même après une heure entière de sonnerie! Au moins un point positif.
Mais pourquoi il a sonné une heure? Ben tout simplement parce que quand je suis allé chez mon pote, j'ai posé mon portable à côté et en mode vibreur, impossible de me prévenir (je sais, ça ne me ressemble pas).
En bref, j'ai aussi appris que même en essayant de faire le moins de bruit possible en rentrant dans l'appartement, j'en faisait autant qu'un éléphant. Il y a des jours comme celui-là où l'on préfèrerait entendre qu'il faut que l'on entame un régime! Et également qu'en rendant service, on s'en prend toujours sur la gueule : je comprends l'égoïsme qui s'installe et fait rage dans notre société. Les gens prennent l'habitude de se plaindre ou de gueuler tout le temps, donc quand on les aide, on se fait inévitablement envoyer paître. A quoi bon continuer à rendre service...
Enfinn après une (autre) dure soirée, je rentre, et fais moins de bruit que ce que les lois de la physique le permettent. Je règle mon réveil (le même qui sonne l'après-midi) et me dit que demain, c'est bon, je vais bosser. Je l'avais mis à 8h.
Je me suis réveillé à 13h34, le réveil dans mes bras, comme un nounours, et je n'ai pas bossé mes concours de la matinée. Comme quoi, il y a une justice...
Ecrit par Astate, à 14:56 dans la rubrique Victuailles.
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Mercredi (16/04/08)
Histoire de...
--> ...prendre son pied!
Ecrit par Astate, à 20:13 dans la rubrique Bordélisme équivoque.
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Mercredi (26/03/08)
Manger avec une chaise comme camarade
--> ou dialogue en mono
Ce midi, pas foutu de m'attendre une vingtaine de minutes, donc je repars seul. Pas de compagnon, simplement le MP3 qui me hurlent la voix du journaliste de France Inter sur notre cher président et la première dame de France. Qu'est ce qu'ils m'emmerdent ces deux- là! J'avance, sous la pluie, comme de coutume, le sac de cours sur le dos, en direction du refectoire. Plateau garni, mais personne avec qui échanger ces plats que l'on appréciera décidément jamais.Je m'assois. Face à moi, seule la chaise me réponds :
Moi -"Dis moi, tu penses vraiment que j'ai rien à foutre là?
La chaise - Ben tu es comme tout le monde, chaque humain à sa place, chaque place à son humain.
Moi - Oui, enfin ici, on dit chose!
La chaise - Je suis une de ces choses!
Moi - Excuse moi...chaise? Quel est ton nom?
La chaise - Je n'en ai pas. Mais passons.
Moi - OK. Pourquoi personne ne m'a attendu?
Je lui file malencontreusement un coup de pied, elle frémit, mais sans plus.
La chaise - C'est comme cela. Tu veux faire bonne impression à trop de monde en même temps, du coup, tu ne fais forte impression sur personne en particulier. On ne te retient pas.
Moi - Je ne suis que ça, un élève dans une classe?
La chaise - Oui. Tu n'es qu'un voisin parmi tant d'autres.
Moi - Donc dans 3 ou 4 ans, quand on se demandera enfin ce que sont devenus les autres, je n'aurai aucun appel de mes collègues de prépa?
La chaise - Non, tu n'auras rien. En as tu aujourd'hui? Non, et bien plus tard, tu les appeleras, mais eux non.
Moi - Mais pourquoi?
La chaise - Tu es un chieur.
Moi - Eh Oh, une chaise, ça ne jure pas! Mais remarque, tu as raison.
La chaise - Les chaises ont toujours raison. Le soucis est que tu sois heureux, pas que tu te soucis de ce qui se passera plus tard. Arrête, comme diraient certains, de "faire des plans sur la comète" et laisse le temps faire son affaire.
Moi - Les chaises ont souvent raison c'est vrai. Mais je suis triste. Mon coeur est à une heure d'ici, et mes seuls amis sur lesquels je peux compter, je ne les vois que trop rarement chaque mois pour que cela me satisfâsse.
La chaise - Dans ce cas, ne pense plus, ne réfléchis plus et laisse tomber tout ça.
Moi - Non!
La chaise - Donc souffre, mais en silence, comme moi. Profites de ce que tu as, et fais avec. Tu verras, plus tard tout s'arrangera.
Moi - Je doute que les chaises aient toujours raison maintenant.
La chaise - Bien dans ce cas, file dans ta vie, jette toi dedans et vois où cela te mène. Amis, Amours, tout ça n'est que relativité. Laisse toi faire, laisse toit bercer par le roulis du temps.
Moi - Je m'en vais dans ce cas. Bon courage!
Je range mon plateau, me serre un dernier verre pour faire passer le piquant du kiwi que je viens d'avaler. Je me lève et quitte mon compagnon de ce repas. En m'éloigant j'entends un vague : " Toi aussi, tu en auras plus besoin que moi".
Les chaises ont toujours raison.
Je déteste les chaises, peut-être parce qu'elles ont toujours raison.
Moi -"Dis moi, tu penses vraiment que j'ai rien à foutre là?
La chaise - Ben tu es comme tout le monde, chaque humain à sa place, chaque place à son humain.
Moi - Oui, enfin ici, on dit chose!
La chaise - Je suis une de ces choses!
Moi - Excuse moi...chaise? Quel est ton nom?
La chaise - Je n'en ai pas. Mais passons.
Moi - OK. Pourquoi personne ne m'a attendu?
Je lui file malencontreusement un coup de pied, elle frémit, mais sans plus.
La chaise - C'est comme cela. Tu veux faire bonne impression à trop de monde en même temps, du coup, tu ne fais forte impression sur personne en particulier. On ne te retient pas.
Moi - Je ne suis que ça, un élève dans une classe?
La chaise - Oui. Tu n'es qu'un voisin parmi tant d'autres.
Moi - Donc dans 3 ou 4 ans, quand on se demandera enfin ce que sont devenus les autres, je n'aurai aucun appel de mes collègues de prépa?
La chaise - Non, tu n'auras rien. En as tu aujourd'hui? Non, et bien plus tard, tu les appeleras, mais eux non.
Moi - Mais pourquoi?
La chaise - Tu es un chieur.
Moi - Eh Oh, une chaise, ça ne jure pas! Mais remarque, tu as raison.
La chaise - Les chaises ont toujours raison. Le soucis est que tu sois heureux, pas que tu te soucis de ce qui se passera plus tard. Arrête, comme diraient certains, de "faire des plans sur la comète" et laisse le temps faire son affaire.
Moi - Les chaises ont souvent raison c'est vrai. Mais je suis triste. Mon coeur est à une heure d'ici, et mes seuls amis sur lesquels je peux compter, je ne les vois que trop rarement chaque mois pour que cela me satisfâsse.
La chaise - Dans ce cas, ne pense plus, ne réfléchis plus et laisse tomber tout ça.
Moi - Non!
La chaise - Donc souffre, mais en silence, comme moi. Profites de ce que tu as, et fais avec. Tu verras, plus tard tout s'arrangera.
Moi - Je doute que les chaises aient toujours raison maintenant.
La chaise - Bien dans ce cas, file dans ta vie, jette toi dedans et vois où cela te mène. Amis, Amours, tout ça n'est que relativité. Laisse toi faire, laisse toit bercer par le roulis du temps.
Moi - Je m'en vais dans ce cas. Bon courage!
Je range mon plateau, me serre un dernier verre pour faire passer le piquant du kiwi que je viens d'avaler. Je me lève et quitte mon compagnon de ce repas. En m'éloigant j'entends un vague : " Toi aussi, tu en auras plus besoin que moi".
Les chaises ont toujours raison.
Je déteste les chaises, peut-être parce qu'elles ont toujours raison.
Ecrit par Astate, à 19:10 dans la rubrique Victuailles.
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Vendredi (21/03/08)
Mot d'un jour
--> et d'une vie
C O M P L I Q U E E (la vie)
Ecrit par Astate, à 19:20 dans la rubrique Bordélisme équivoque.
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Vendredi (14/03/08)
Un goutte d'eau dans la douche.
Ecrit par Astate, à 00:18 dans la rubrique Bordélisme équivoque.
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Mercredi (12/03/08)
Bouh la tempête qui fait mal aux êtres
--> A toi, mon étoile filante sans satellite
Tempête solaire ou tempête terrestre, d'eau ou de feu, ce n'est pas toi qui a choisi. L'une t'aurai fait du bien, l'autre t'a fait du mal.
Je hais ce mauvais temps qui nous empêche d'avoir des moments heureux et qui pire, te fait du mal.
Tu n'es en rien responsable, mais les éléments sont comme cela, ils nous jouent souvent des tours.
Un jour tu verras l'un, sans subir les dommages de l'autre. Un jour le ciel t'appartiendra, et la tempête sera loin.
Mes écumes te font un tendre baiser, à toi l'amie de la classe d'à côté, qui comme moi voit les étoiles flottées.
J'aurais aimé être avec toi à ce moment, mais je le serai dans quelques ans.
Vis, et tu as raison, ne te soucis pas des cons. Brave ta maladie, et vis là, cette vie que tu envies.
Ecrit par Astate, à 17:39 dans la rubrique Victuailles.
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Envie de fraîcheur
--> mais pas d'une nuit gelée
Ecrit par Astate, à 17:25 dans la rubrique Bordélisme équivoque.
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Dimanche (09/03/08)
Quand on aime,
--> on ne compte pas?
Mais si l'on ne dois pas compter, est-ce dans le sens où l'on ne compte pas les heures de retards que l'autre a pour les rendez-vous, les sorties ou les appels, qu'on ne compte pas l'argent qu'il nous coûte lorsque l'on se rencontre, que l'on ne compte pas les innombrables mensonges que la personne nous fait pour expliquer un oubli quelconque, pour expliquer un changement de programme imprévu aux raisons inconnues?
Ou alors, on ne compte pas, soi-même, id est qu'on ne représente rien pour le bonheur de l'autre? que l'on se tait lorsque que les cas précédemment cités nous prennent à la gorge, et que l'on pleure en silence tout en souriant et feignant que rien n'est plus beau que l'amour? Doit-on ne pas compter dans le sens où l'on doit se plier aux bonnes volontés du parti adverse, en disant "oui oui" parce que son plaisir (s'il en est) passe avant le nôtre, et qu'après tout, l'amour n'est qu'égoïsme et volonté personnelle?
Ou alors, on ne compte pas, soi-même, id est qu'on ne représente rien pour le bonheur de l'autre? que l'on se tait lorsque que les cas précédemment cités nous prennent à la gorge, et que l'on pleure en silence tout en souriant et feignant que rien n'est plus beau que l'amour? Doit-on ne pas compter dans le sens où l'on doit se plier aux bonnes volontés du parti adverse, en disant "oui oui" parce que son plaisir (s'il en est) passe avant le nôtre, et qu'après tout, l'amour n'est qu'égoïsme et volonté personnelle?
Ecrit par Astate, à 17:40 dans la rubrique Victuailles.
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